Le programmatique au service du développement de votre ROI

Le développement massif de la data influence largement les stratégies digitales et le programmatique semble ressortir aujourd’hui du lot. Mais pourquoi opter pour l’automatisation des campagnes de communication ?

Qu’est-ce que le programmatique ?

Contraction de programme et d’informatique, le programmatique est née il y a une vingtaine d’années. Naturellement, ce domaine a évolué avec la technologie et, depuis quelques années, il a toute sa place dans une stratégie digitale mise en place par une agence e-marketing. Concrètement, il s’agit de l’automatisation des campagnes publicitaires, une automatisation permise par l’avènement de la data et donc des données disponibles pour déterminer des profils.

Pour faire simple, l’achat programmatique implique l’utilisation de logiciels pour automatiser l’achat média sous différents formats : bannières, vidéos, mobiles, rich media, etc.). Loin de faire du volume pour le volume, le programmatique permet d’acheter en masse en fonction d’objectifs visés (taux de clic, acte d’achats, ou même de branding…), et de critères de sélection ciblant des internautes selon la catégorie sociodémographique, les habitudes de navigation, d’achats, etc.

Car aujourd’hui, l’objectif d’une agence de marketing digital est clair : inciter la cible à réaliser une action en personnalisant ses campagnes.

Comment le programmatique permet d’augmenter le ROI ?

Pour les annonceurs, le programmatique présente trois avantages majeurs : il permet d’affiner le ciblage grâce aux données collectées sur les divers canaux de diffusion et il permet d’augmenter les performances tout en maitrisant les coûts. Selon le baromètre de l’EBG et de Quantcast, 42% des annonceurs boostent leurs campagnes programmatiques pour personnaliser leurs actions, 66% pour optimiser les investissements et 73% pour un meilleure ciblage publicitaire.

Le programmatique occupe une place majeure dans le digital marketing puisque 85% des annonceurs annoncent qu’ils sont prêts à payer plus cher une data si elle est de qualité. Toujours selon cette étude, on en sait plus sur les données que recherchent les annonceurs. 67% d’entre eux utilisent massivement la navigation, 56% la géolocalisation et 46% les données sociodémographiques. Le programmatique a d’ores et déjà fait ses preuves, nul doute que l’automatisation est bel et bien la solution pour mieux cibler et ainsi transformer massivement.

Les clés pour une conversion au programmatique

Cette même Fédération précise dans son rapport ce qu’il faut savoir pour développer une opération programmatique qui marche :

  • Au cœur du programmatique, sont les données : il faut donc être en mesure d’analyser investissements, audiences, rebonds…
  • Puisque les données représentent à elles seules tout l’intérêt de l’opération, il est nécessaire de connaître le rôle et les intérêts des prestataires au service de la marque.
  • Dans cette optique, la Fédération préconise d’établir des contrats avec chaque prestataire du programmatique pour préciser le champ d’action de chacun.

L’idéal est donc de mettre en place un trading desk interne, intégré aux équipes marketing. Mais, évidemment, cela est surtout vrai pour les grands comptes. Les PME ont quant à elles tout intérêt à faire appel à des prestataires extérieurs.

Connaitre mieux sa cible grâce à la TV programmatique

TV programmatique : qu’est-ce que c’est ?

La TV programmatique est une technique pratiquée par votre agence de publicité web qui se base sur la programmatique simple. Cette technique d’achat est liée à une automatisation des achats médias en display. Concrètement, les marques achètent une audience spécifique sur la base d’algorithmes et non plus des diffusions fixes. Pour faire simple, la publicité est plus ciblée et répond réellement aux besoins de l’utilisateur.

Aujourd’hui, la programmatique représente plus de 60% des investissements display en France. Aujourd’hui, avec l’IPTV, il est facile de connaître la personne qui se trouve derrière l’écran. Sa consommation de télévision, les replays regardés, chaque élément contribue à construire un profil, une aubaine pour votre agence e-marketing.

Une publicité toujours mieux ciblée

L’exemple type est celui de M6. Si quelqu’un souhaite regarder un replay, la publicité qui apparaîtra ne sera pas la même si le téléspectateur est un homme ou une femme. Auparavant, la publicité était unique et tournait simplement autour du thème de l’émission.

Mais quid de la TV linéaire ? Les données ne sont pas les mêmes, comment donc votre agence digitale peut-elle communiquer de manière ciblée avec vous ? La réponse se trouve aux USA où la TV payante est adoptée par 80% des ménages. C’est ici que les annonceurs parviennent à paramétrer leur publicité pour optimiser leurs dépenses et augmenter leur ROI. En France en revanche, le CSA aujourd’hui reste contre un système de personnalisation de chaînes hertziennes comme c’est le cas aux USA, même si les annonceurs tentent de le convaincre. De plus, aucun flux retour n’est renvoyé, les annonceurs ne disposent donc pas de données pour cibler leur publicité.

15 conseils pour réussir ses campagnes de native advertising

L’agence webmarketing Wedig est le partenaire referenceur rennes des entreprises. Cela veut dire que l’agence digitale rennes dispose de tout le savoir-faire en référencement naturel et payant. Pour ce dernier, Wedig s’intéresse au Native Advertising pour compenser la perte de vitesse du Display. Mais il faut respecter certaines règles.

Le Native Advertising, qu’est-ce que c’est ?

Le Native Advertising est, pour parler français, une publicité native en ligne. Son format est adapté au média parcouru par l’internaute. On peut la comparer au publi-reportage classique des magazines papier. En étant moins intrusive que d’autres formats en ligne, cette publicité recherche un taux de clic plus élevé pour l’annonceur.

Les avantages et enjeux pour les entreprises

  • Ciblage, pertinence et qualité, grâce à des messages intégrés au contexte du média, et en phase avec le contenu de marque de l’annonceur.
  • Branding : travailler la notoriété ou la visibilité de votre entreprise grâce à des contenus plus développés que sur une bannière.
  • Performance et engagement : Les taux de clics sont bien meilleurs que sur les autres formats display. Les formats proposés rassurent et engagent davantage les publics cibles.

Le native Advertising, les conseils des experts Wedig

Inclure efficacement le Native Advertising

D’un côté, les internautes deviennent réfractaires à la publicité sous forme de Display, ce qui explique la popularité des bloqueurs de publicité. Les annonceurs sont intéressés par les nouveaux supports pouvant le remplacer. D’un autre côté, les médias sont à la recherche de nouvelles sources de financements. L’agence de conseil Wedig propose la solution du Native Advertising, sous réserve de respecter scrupuleusement ces dix commandements :

Signaler aux internautes que le contenu est publicitaire

Le bureau international de la publicité (IAB) érige des recommandations strictes en tant qu’autorité de régulation mondiale. Les mentions ont ainsi une obligation de transparence pour ne pas tromper le public. Wedig est donc vigilent à ce que les termes choisis indiquent clairement que le contenu est sponsorisé. De même pour le message d’avertissement, assez grand et lisible pour se différencier des contenus éditoriaux.

Parler avec franchise dans vos native ads

La description des produits ne doit pas mentir ou dissimuler leurs faiblesses, y compris lors d’un comparatif avec d’autres marques.

Eviter en cas d’image de marque négative

Wedig ne recommande pas cette forme de publicité aux entreprises pâtissant d’une faible image, cela ne peut qu’amplifier la méfiance du lecteur. Dans tous les cas, les médias choisis comme support doivent respecter une bonne cohérence avec la réputation de l’entreprise.

Accepter la liberté éditoriale du média

Wedig préconise de respecter le travail journalistique du support. Ainsi, l’annonceur ne peut ni ne doit imposer un contenu, des chiffres ou un angle d’approche.

Eviter la promotion directe de la marque

Se servir du Native Adverising pour promouvoir directement ses produits reviendrait à la transformer en publicité clandestine. Ce n’est donc pas le support adéquat pour lancer un placement de produit ou de marque.

Séparer la régie de la rédaction journalistique

Les journalistes doivent pouvoir travailler en toute liberté, leur crédibilité en dépend. Wedig veille donc à ce qu’ils ne subissent aucune pression de la part des annonceurs.

Définir des critères d’attractivité et de qualité

L’efficacité de l’annonce découle presqu’exclusivement de la satisfaction des lecteurs. Wedig préconise de se fixer des critères d’audience, de temps passé et de partage. La qualité de l’annonce a tout à y gagner, ainsi que l’attractivité du magazine qui la publie.

Proposer du contenu de qualité

Dans le cas où l’annonceur propose lui-même du contenu, celui-ci se doit d’égaler en qualité celui présent sur le support choisi. L’entreprise veillera à éviter l’auto-satisfaction et à vérifier le réel pouvoir d’attractivité auprès des lecteurs. D’autant plus qu’un contenu faible en qualité sera contreproductif et risquera d’attirer un buzz négatif.

Éviter les sujets prétextes dans vos publicités natives

En Native Advertising, il faut toujours veiller à privilégier le plaisir du lecteur avant celui de l’entreprise quel que soit le sujet de la communication. Le contenu proposé doit être intéressant, au-delà de la propre satisfaction de l’entreprise.

Intégrer la complémentarité des annonceurs et des médias

Plus encore quand la période est complexe pour la communication, les destins des entreprises et des supports sont liés. Les médias ont besoin des annonceurs pour leur apporter un financement. Parallèlement, les annonceurs bénéficient du savoir-faire éditorial et de la crédibilité des médias. Grâce à cette association en bonne intelligence, tout le monde est gagnant : l’entreprise, le média et le consommateur dont la lecture assure le succès de ces derniers.

Google Shopping : l’axe incontournable pour le référencement e-commerce ?

Google Shopping est devenu, comme beaucoup de services de ce moteur de recherche d’ailleurs, un incontournable pour les professionnels du marketing digital. Pour cette fin d’année, Google Shopping propose 2 nouveaux reportings qui ne manquent pas d’intérêt.

Analyser les opportunités perdues

Si vous avez déjà créé un compte Google Shopping, vous avez noté que certains produits n’étaient pas éligibles, pour une raison ou pour une autre. Aujourd’hui, il est tout à fait possible de consulter un rapport sur ces produits afin d’avoir connaissance du trafic perdu en ne les activant pas. Ces produits sont classés dans 4 catégories à savoir les produits refusés, inactifs, pas prêts pour la diffusion et prêts pour la diffusion. Parmi ces produits, votre agence conseil peut déterminer les volumes de clics et d’impressions afin de connaître le potentiel de ces mots clés et de déterminer lesquels sont les plus pertinents. Ensuite, il ne reste plus qu’à activer ces mots clés pour le moment en sommeil afin de faire une publicité web efficace.

Obtenir les meilleurs positions

Le référencement est un combat de tous les instants. Et Google Shopping est lui aussi un ring sur lequel il faut lutter pour être le meilleur. Et le meilleur, c’est celui qui a la meilleure place selon les supports. Sur mobile par exemple, c’est l’annonce la plus à gauche qui génère le plus de clics. Un nouveau reporting a été mis en place par Google afin de connaître la part d’impressions absolues, une analyse qui va plus loin que le volume d’impressions totales. En effet, cette fois, il est possible de savoir combien de temps vous passez à chaque emplacement afin de mesurer concrètement la pertinence de votre publicité.

Les consultants Wedig certifiés Google, mettent en œuvre leur expertise pour faire apparaître votre site dans les premiers résultats des moteurs de recherche avec un coût d’acquisition optimal.

Waze, un canal de publicitaire à considérer pour votre webmarketing local

Vous connaissez certainement Waze, ce GPS de Google qui vous alerte en temps réel sur le trafic grâce aux contributions des conducteurs. Aujourd’hui, plus de 7 millions de conducteurs utilisent cette application. Naturellement, les annonceurs et les agences webmarketing s’y intéressent de plus en plus.

Des consommateurs toujours dans leur voiture ?

Il apparaît aujourd’hui que les actifs passent en moyenne deux heures dans leur voiture chaque jour dans le cadre des déplacements domicile-bureau. Cela représente le temps moyen passé devant la télé. Votre agence e-marketing l’a parfaitement compris, il faut à présent s’intéresser à cette cible. Car ces conducteurs sont connectés. Avec plus de deux millions d’utilisateurs réguliers chaque mois en Île-de-France et plus de 7 millions dans toute la France, le potentiel de Waze est énorme.

Attirer les clients en magasin avec Waze

Difficile aujourd’hui d’imaginer une application avec tant d’utilisateurs ne pas profiter de cette audience pour faire de la publicité. Waze se positionne sur la publicité web locale avec l’objectif d’attirer les utilisateurs se trouvant sur un certain périmètre dans la boutique de l’annonceur. Il s’agit donc d’un levier à considérer lors de la définition d’une stratégie web-to-store. Tandis que vous serez sur le chemin du retour du travail pour rejoindre votre domicile, une grande enseigne va tenter de vous séduire. Vous passez à côté de Darty ? Waze vous affiche l’offre du moment. Vous passez devant un restaurant ou un cinéma, un pins vous indique leur présence. Des magasins comme Lidl ont parfaitement compris l’intérêt de Waze et proposent depuis 2015 des publicités afin d’inciter les conducteurs à s’arrêter pour profiter d’offres promotionnelles. Si votre agence digitale vous propose d’être présent sur Waze, vous comprendrez à présent pourquoi il s’agit d’un enjeu essentiel pour votre trafic en magasin.

LinkedIn : le plus vieux des réseaux sociaux propose enfin une publicité complète

Alors que LinkedIn a été fondé en 2003, avant Facebook, ce n’est qu’à présent qu’il décline sa publicité pour proposer une offre réellement complète. Il était temps d’exploiter le potentiel de cette plateforme pour professionnels. Voyons ce que les annonceurs vont pouvoir trouver dans l’offre de publicité LinkedIn.

Quand LinkedIn passe au retargeting

Il est toujours étonnant d’imaginer que LinkedIn n’a pas choisi plus tôt d’exploiter le nombre de visiteurs de sa plateforme en développant une publicité plus complète permettant de générer des gains substantiels. Aujourd’hui, qu’importe, ce réseau social rattrape le temps perdu avec 3 formats qui permettent de cibler un internaute qui, d’une manière ou d’une autre, a déjà été en contact avec la marque. C’est ce que l’on nomme le retargeting.

Les nouveaux formats publicitaires de LinkedIn

Tous les réseaux sociaux n’ont pas choisi de fonctionner de la même manière. Aujourd’hui, LinkedIn propose trois formules de publicité en retargeting :

  • Le website retargeting : votre agence digitale intègre le tag LinkedIn Insight sur votre site. Cela vous permet de savoir qui de vos visiteurs sont inscrits sur LinkedIn. Ainsi, lorsqu’ils se rendent sur le réseau social, vous pouvez les solliciter à nouveau via un message publicitaire.
  • L’account targeting : cette fois, c’est votre agence social média qui importe une base de données afin de réaliser une publicité ciblée sur les utilisateurs travaillant dans une entreprise.
  • Le contact targeting : ici, il est possible d’importer sa base de données CRM sur LinkedIn. Cela permet d’être en lien sur cette plateforme avec ses clients et prospects. Certaines plateformes telles que Marketo permettent l’import de ces données.

TV programmatique : quand l’agence e-marketing connaît toujours mieux sa cible

Afin de toujours mieux cibler les audiences, les agences de communication ont fait le choix de s’intéresser à la TV programmatique qui propose une avancée majeure en matière de publicité.

TV programmatique : qu’est-ce que c’est ?

La TV programmatique est une technique pratiquée par votre agence de publicité web qui se base sur la programmatique simple. Cette technique d’achat est liée à une automatisation des achats médias en display. Concrètement, les marques achètent une audience spécifique sur la base d’algorithmes et non plus des diffusions fixes. Pour faire simple, la publicité est plus ciblée et répond réellement aux besoins de l’utilisateur. Aujourd’hui, la programmatique représente plus de 60% des investissements display en France. Aujourd’hui, avec l’IPTV, il est facile de connaître la personne qui se trouve derrière l’écran. Sa consommation de télévision, les replays regardés, chaque élément contribue à construire un profil, une aubaine pour votre agence e-marketing.

Une publicité toujours mieux ciblée

L’exemple type est celui de M6. Si quelqu’un souhaite regarder un replay, la publicité qui apparaîtra ne sera pas la même si le téléspectateur est un homme ou une femme. Auparavant, la publicité était unique et tournait simplement autour du thème de l’émission. Mais quid de la TV linéaire ? Les données ne sont pas les mêmes, comment donc votre agence digitale peut-elle communiquer de manière ciblée avec vous ? La réponse se trouve aux USA où la TV payante est adoptée par 80% des ménages. C’est ici que les annonceurs parviennent à paramétrer leur publicité pour optimiser leurs dépenses et augmenter leur ROI. En France en revanche, le CSA aujourd’hui reste contre un système de personnalisation de chaînes hertziennes comme c’est le cas aux USA, même si les annonceurs tentent de le convaincre. De plus, aucun flux retour n’est renvoyé, les annonceurs ne disposent donc pas de données pour cibler leur publicité.

Comment les données d’Instagram influencent la stratégie de votre agence digitale ?

A l’instar de Snapchat, Instagram prend une place toujours plus importante dans le monde des réseaux sociaux. C’est l’occasion de s’intéresser à ses utilisateurs pour mieux les connaître et ainsi mieux cibler sa stratégie digitale.

Instagram, la plateforme qui monte

Avec 700 millions d’utilisateurs dans le monde, Instagram est devenu un média majeur. 59% de ces utilisateurs sont présents chaque jour sur la plateforme pour rechercher des images ou pour publier. Mais quels enseignements peut-on tirer de cette plateforme pour la mise en place d’une stratégie webmarketing ?

Les données à collecter sur Instagram

Selon une étude du Pew Research Center, on découvre que les femmes utilisent plus Instagram que les hommes. 31% d’entre elles utilisent régulièrement cette plateforme contre 24% des hommes. Et ce constat est valable pour tous les âges puisque 23% des adolescentes consultent régulièrement Instagram contre 17% des adolescents. Votre agence social media doit pouvoir tenir compte de ce facteur pour réaliser une publicité web pertinente et ciblée. Concernant l’âge des utilisateurs, on s’aperçoit qu’Instagram touche majoritairement les jeunes avec 55% d’utilisateurs âgés de 18 à 29 ans. 28% des utilisateurs ont entre 30 et 49 ans et 11% entre 50 et 64 ans. S’il faut donc axer sa communication sur les jeunes, il ne faut pas pour autant oublier les seniors qui s’intéressent de plus en plus à cette plateforme et qui constituent ainsi une cible pertinente. Le Pew Research Center nous révèle également que 30% des utilisateurs d’Instagram gagnent entre 50 000 et 74 999 dollars. Cela n’indique pas pour autant que la plateforme touche uniquement les personnes aisées puisque 26% des utilisateurs gagnent moins de 30 000 dollars par an. Enfin, cette étude nous révèle que 32% des adultes utilisateurs vivent en zone urbaine.

Stratégie webmarketing : ce que pensent les internautes de la publicité en ligne

Alors que certains professionnels doutent de la pertinence de la publicité en ligne, Quantcast a interrogé les internautes pour savoir si, pour eux, la publicité en ligne avait toujours sa place dans une stratégie digitale.

Oui à la publicité si elle est pertinente

Selon l’étude de Quantcast, il apparaît que la publicité web est porteuse chez les internautes uniquement si elle est réellement pertinente. Lorsque tel est le cas, 50% d’entre eux se renseignent sur la marque et peuvent, à terme, s’engager.

Qu’est-ce qu’un message pertinent ?

Telle est la vraie question. Il est essentiel de comprendre ce qu’est une publicité pertinente pour la mise en place d’une stratégie de communication par votre agence webmarketing. Selon 78% des personnes interrogées, ce sont les soldes et offres spéciales qui sont incitatives. Les événements à proximité sont appréciés par 67% des sondés. Et l’on s’aperçoit que la publicité ciblée est impactante puisque 66% des personnes interrogées affirment que les contenus publicitaires liés à leur historique de navigation les interpellent.

Quels formats adopter ?

Pour une agence e-marketing, il est également important de savoir quels sont les formats qui attirent les internautes. Il ressort de cette étude qu’ils préfèrent les images fixes et les gifs animés. En revanche, les formats interactifs ne sont que peu appréciés. Une publicité intrusive est semble-t-il contre-productive. Et l’on peut le comprendre. Aujourd’hui, on consulte internet partout, même au bureau. Une publicité avec du son pourrait être très dérangeante pour l’internaute.

Enfin, il ressort que 50% des internautes font une recherche sur le produit si la publicité est pertinente et 14% partagent des informations sur l’entreprise. La publicité web, si elle est parfaitement pensée, a donc un grand avenir devant elle et reste un réel moyen de convertir.

Pourquoi votre consultant webmarketing vous propose-t-il le SMS marketing ?

Avec des consommateurs toujours plus dépendants de leur smartphone, le SMS marketing semble encore être une pratique tendance pour les toucher sans pour autant faire des publicités trop intrusives.

SMS marketing : qu’est-ce que c’est ?

C’est simple, le concept est de communiquer avec sa cible par SMS. Le SMS marketing consiste à envoyer des messages sur smartphone afin de proposer un produit ou un service. Aujourd’hui, les commerçants n’hésitent pas à demander un numéro de portable dans le cadre de la création d’une carte de fidélité. Une aubaine pour une agence digitale qui dispose alors d’une base de données importantes pour communiquer. Offre promotionnelle, portes ouvertes, liquidation, aujourd’hui, tout s’annonce par SMS.

Les avantages du SMS Marketing

Si votre consultant webmarketing vous propose de communiquer vos offres par SMS, cela n’est en rien dû au hasard. En effet, ce canal offre différents avantages. Le premier est tout simplement la certitude de toucher sa cible. En effet, avec les SMS, contrairement aux mails, il n’y a pas de SPAM. Aussi, à moins d’un bug au niveau de l’opérateur téléphonique, le message parviendra à son destinataire. En outre, les messages sont souvent courts, le consommateur prend le temps de le lire. Et un message bref se mémorise bien plus facilement pour 60% des consommateurs. Le prix est également attractif, plus que celui de la publicité web. En effet, on estime que le SMS marketing coûte moins de 5 centimes par message.

Quel message délivrer ?

Si vous souhaitez faire une campagne de SMS marketing, vous pouvez communiquer diverses informations à votre cible. Message de rappel, message promotionnel, information, mise à disposition d’un produit, les possibilités sont nombreuses.

Publicité web : comment utiliser les nouveaux formats Messenger Ads ?

Alors que la publicité sur Messenger (la messagerie instantanée de Facebook) est apparue en novembre 2016, c’est cet été que les formats Messenger Ads ont évolué. Découvrons comment fonctionne la publicité web sur Messenger.

Les formats publicitaires sur Messenger

On compte à ce jour 3 formats pour communiquer sur Messenger à savoir les Messenger Ads, les Click to Messenger Ads et les Sponsored Messages. Ces derniers sont, comme leur nom m’indique, des messages sponsorisés qui ont pour vocation de réengager des utilisateurs qui ont déjà eu une expérience avec l’annonceur. Dans ce cas, la marque s’adresse directement à l’utilisateur de Messenger pour lui communiquer une offre promotionnelle. Les Click to Messenger Ads ou Newsfeed Ads permettent à l’utilisateur d’engager une conversation avec l’annonceur. Ce format est également disponible sur Instagram.

Messenger Ads, comment ça marche ?

Pour votre agence social media, Messenger Ads ouvre de très belles portes pour capter de nouveaux prospects. Auparavant, les publicités sur Messenger se faisaient en interne, sur l’application, et mettaient en relation la marque et l’utilisateur. Aujourd’hui, c’est tout le réseau Display qui devient accessible aux annonceurs. Messenger accueille donc la publicité la plus classique du monde. Un message apparaît, l’internaute clique et se dirige vers la landing page du site. Une aubaine quand on sait qu’une part considérable d’internautes est quotidiennement sur les réseaux sociaux et leur messagerie instantanée. A ce jour, Messenger compte 1,2 milliards d’utilisateurs actifs. Pour les agences de communication, le potentiel est énorme, impossible de faire fi de cette plateforme dans le cadre de la mise en place d’une stratégie digitale.