Comment votre agence webmarketing Rouen va-t-elle gérer votre display en 2017 ?

Sur internet, force est de constater que tout évolue à vitesse grand V. Chaque année, les professionnels du web doivent s’adapter pour booster le trafic de leurs clients. Et le display ne fait pas exception à la règle avec des tendances bien prononcées pour 2017.

La programmatique en forte croissance

Alors qu’elle représente déjà 50% du display, la programmatique va voir son rôle s’accentuer en 2017. Pourquoi ? Parce que la notion de personnalisation est toujours plus efficace et que c’est bel et bien cette méthode qui permet un meilleur ciblage. En outre, la programmatique pourrait s’inscrire dans une démarche cross médias de la part de votre agence webmarketing Rouen.

La vidéo : le support phare pour communiquer

On le sait, la vidéo est un format qui séduit les internautes. Pour autant, la difficulté pour une agence social média Rouen est de faire en sorte que la pub ne soit pas skippée lorsqu’elle apparaît avant une vidéo, notamment sur YouTube.

Quid des natives ads ?

En 2017, elles pourraient très bien voir leur impact augmenter. Discrètes, non seulement elles s’adaptent parfaitement à différents supports et plateformes, d’autre part le taux d’engagement avec les natives ads est élevé.

Du cross device sinon rien

Depuis des années, votre agence webmarketing vous parle de cross média, cross canal, etc. Le cross device est lui aussi un aspect majeur au niveau du display. Il s’agit ici de s’adapter au comportement du consommateur qui passe par différents écrans avant d’agir. Une communication réussie doit tenir compte de cela et suivre un fil rouge.

Display et adblocking, comment faire ?

La nouvelle génération d’internautes est très friande des bloqueurs de pubs. Aussi, l’enjeu en 2017 est-il, non pas nécessairement de lutter contre ces bloqueurs, mais de régler le problème à la base : faire en sorte que la pub soit moins intrusive et plus engageante.

Les mesures de P&G pour aider votre agence webmarketing à mieux gérer sa pub

Procter & Gamble, par l’intermédiaire de Marc Pritchard, le directeur de la marque, a soulevé une fois encore les problèmes d’opacité dans la pub en ligne. Il propose quelques mesures pour que les annonceurs bénéficient de plus de transparence.

Une norme de visibilité unique

Tout le problème pour une agence webmarketing est de savoir si la publicité qui a été lancée est bien arrivée jusqu’à sa cible. Un scandale mis à jour l’an passé a semé le doute, c’est pourquoi P&G souhaite qu’une norme unique de visibilité puisse permettre d’être certain que chaque impression payée a bien été vue par l’internaute. P&G mise sur la norme développée par le Media Rating Council.

Signer un contrat de transparence

Pour que votre agence SEO puisse être certaine de disposer de toutes les informations nécessaires, un contrat de transparence devra être signé entre les médias et les annonceurs.

Une certification fiable

Pour éviter toute fraude, la transparence ne suffit pas. Marc Pritchard souhaite empêcher toute pratique illégale en faisant appel à la certification de Trustworthy Accountability Group.

Faire pression de manière financière sur les médias

Pour Procter & Gamble, la solution ultime est simple : sanctionner les médias réfractaires en limitant la publicité en ligne. Car si cette publicité vous permet de convertir, votre agence SEO Brest dépense pas mal d’argent qui entre dans les poches de ces différents médias. Or, P&G souhaite aujourd’hui que ce soit donnant-donnant : les annonceurs paient, les médias font preuve de transparence. L’entreprise américaine a déjà divisé par deux son budget l’an dernier, elle pourrait poursuivre sur sa lancée si elle n’obtenait pas gain de cause.

Le programmable advertising s’immisce en agence marketing digital

Le succès du display programmatique va se confirmer en 2016 avec un bon attendu de 31,8%*. Cependant, pour continuer cette croissance et éviter un essoufflement, le modèle doit évoluer et se renouveler. Plus de sur mesure et plus d’humain, voici ainsi en agence marketing digital, le nouveau challenge que doit apporter le programmable au programmatique.

Le display programmatique se doit d’évoluer

Avec un marché estimé à 555,65 millions d’euros et une part de marché à plus de 60% (*source : advertising programmable et programmatiqueEmarketer septembre 2016) le display programmatique est devenu un levier presque indispensable dans les plans médias. Comme pour un expert adwords, le tout automatisé risque cependant de ne plus suffire pour garantir un succès sur le long terme. Déjà annoncé aux Etats-Unis par la presse comme le « next step » du programmatique, le « programmable advertising » met l’homme et son expérience de marché devant la machine. Cette évolution et ce concept, développés dans un article précédent par Vincent Mady (CTO Tradelab) risque bien de conquérir annonceurs et marketeurs.

La Maturité des annonceurs

Les annonceurs deviennent de plus en plus aguerris, ils commencent à maitriser ces nouveaux principes d’achats et deviennent également plus familiers avec les technologies associées (RTB, data, DMP…). Si on associe leur nouvelle connaissance à leur maitrise et expertise métier, ils risquent d’être plus impliqués dans la stratégie media et les optimisations. Le trop générique et l’automatique risquent de ne plus suffire. Mais attention, passer de l’automatisé au manuel n’est pas si simple car la machine a ses limites et elle n’est pas aussi flexible et ouverte que l’on pourrait se l’imaginer.

Le Programmable advertising

Pas de terme révolutionnaire, mais derrière ces 2 mots se cache l’évolution naturelle du programmatique. Il s’agit de remettre l’expertise humaine au sein des machines et des technologies devenues surpuissantes. Sortir du 100% algorithme pour inverser le process initial de « l’homme et la machine » à « la machine et l’homme ». Cette inversion peut paraître banale mais change beaucoup de choses car le dernier mot est laissé à l’humain qui va avoir plus de liberté. Il va pouvoir agir plus directement sur les choix de cibles, les achats et les optimisations, pour atteindre au mieux les objectifs.

La Méthodologie du programmable ciblage publicitaire par profil

Tout d’abord mettre en place un échange et une réflexion entre l’annonceur et l’agence. Définir ensemble les objectifs, les cibles, les spécificités parmi les datas accessibles : données démographiques, centre d’intérêts, géolocalisation, horaires… Tous ces éléments qui vont optimiser les clics, les visites ou les achats selon les KPI définis.

Ensuite, définir un algorithme personnalisé à partir des éléments déterminés au préalable. Cela offre à chaque annonceur une structure sur-mesure. Lorsque la campagne est activée la machine prend le relai et va mettre en application la stratégie sous l’œil attentif de l’expert programmatique qui va contrôler et enrichir l’algorithme. La machine n’est pas en reste puisqu’elle propose elle-même de nouveaux attributs.

 

Au final, la machine va plus intervenir sur du potentiel prédictif quand le spécialiste marketing apporte sa connaissance et son expérience du marché. Au sein de Wedig, l’agence webmarketing Rennes, on allie déjà la puissance de la machine et l’expérience humaine pour révéler au mieux le potentiel de l’achat media programmatique.