Pourquoi votre agence webmarketing Rennes vous propose Google Shopping

Aujourd’hui, les propriétaires de boutiques en ligne se demandent naturellement si Google Shopping est une bonne solution pour vendre. En termes de visibilité, il semble en effet que ce service soit devenu quelque peu incontournable.

Google Shopping, du gratuit au payant

A l’origine, Froogle, devenu Google Product Search, était un service gratuit qui permettait de rendre plus visibles ses produits. Comme de nombreux services Google, celui qui fut rebaptisé Google Shopping en 2012 est devenu payant. Pour une agence webmarketing rennes, le travail s’est naturellement compliqué. En effet, il ne s’agit aujourd’hui plus simplement de proposer un Excel avec toutes les données, il faut aussi gérer les enchères comme pour une campagne adwords. Car être sur Google Shopping, c’est bien. Mais être le plus visible possible, c’est mieux !

Comment réussir sur Google Shopping ?

Le travail de votre agence webmarketing va consister à vous faire choisir un nom de produit explicite afin qu’il soit trouvable. En termes de prix, n’oublions pas que Google Shopping est un comparateur. Si vous êtes deux fois plus cher que les autres, il sera difficile de vendre. Pour autant, ne baissez pas trop les prix car il faudra aussi payer Google qui prend de l’argent à chaque clic (comme pour AdWords). L’image doit bien sûr être soignée pour donner envie d’acheter. Mais ce n’est pas tout. Concrètement voici les étapes pour réussir sur Google Shopping :

  • Améliorer l’expérience utilisateur
  • Bien remplir son flux de produits selon les exigences de Google
  • Miser sur le local si vous avez aussi une boutique physique
  • Avoir un service irréprochable pour générer des avis positifs
  • Bien ajuster ses enchères pour être présent sans dépenser trop
  • Personnaliser sa campagne

Comment votre agence digitale Angers va-t-elle optimiser votre boutique en ligne ?

Faire du commerce en ligne n’est pas chose simple. Pourquoi ? Tout simplement parce que l’internaute est devenu un consommateur toujours plus exigeant. Chaque détail compte, voici donc ce que vous devrez optimiser pour réussir.

Votre site devra être rapide

Au bout de 3 secondes, 57% des internautes quitteront votre site si la page n’est pas chargée. Etes-vous prêt à prendre ce risque quand on sait que 80% d’entre eux ne reviendront pas ?

Le design de votre site devra mettre en confiance

Plus de 92% des internautes estiment que le visuel du site est important pour acheter. Le site doit avoir un design pro, mettre en confiance, et surtout informer correctement le lecteur. Multipliez les vues de vos images produits, permettez de zoomer, demandez à votre agence webmarketing angers de produire des vidéos. 31% des internautes ont acheté après en avoir vu une.

Laisser parler ses clients

Votre agence digitale angers va devoir vous donner la possibilité d’afficher les avis de vos clients. 85% des internautes lisent les commentaires, 67% en lisent au moins 6 pour se faire une réelle opinion.

Comprendre les abandons de paniers

Votre agence digitale doit être à même de consulter les statiques pour comprendre pourquoi les internautes n’ont pas acheté. Mais avant cela, elle doit s’assurer que les règles de base sont respectées. Prévenir au dernier moment de frais supplémentaires, forcer à ouvrir un compte, avoir un processus de validation de commande de plus de 5 étapes, ne pas afficher de numéro de téléphone, tout ceci contribue à faire fuir le client.

Proposer des codes de réduction

En 2016, 57% des personnes ayant utilisé ces réductions ne l’auraient pas fait si elles n’avaient pas obtenu de code. Que dire de plus ?

Un choix de paiements sécurisés

Placez les logos des systèmes de paiement sur votre site, cela met les internautes en confiance. Et songez à multiplier les moyens. De fait, 40% des internautes sont plus en confiance lorsque différents paiements sont proposés.

Google Shopping : un incontournable pour une agence social média ?

Google Shopping est devenu LA référence si on souhaite être visible. C’est d’ailleurs dans l’ordre des choses puisqu’il faut déjà être sur Google pour obtenir du trafic. Mais comment votre prestataire devra-t-il agir pour que votre présence sur Google Shopping vous permette de convertir ? Et pourquoi faut-il s’inscrire ?

Le flux produit : la première étape pour réussir sur Google Shopping

Si vous avez eu la bonne idée de vous offrir les services d’une agence webmarketing à Brest, nul besoin de comprendre en détail comment fonctionne Google Shopping. Pour autant, il est intéressant de cerner les éléments majeurs qui vous permettront de vendre. Sur cette plateforme, le flux produit doit être soigné par votre agence social media. Pour être bien visible, ce flux doit être structuré et respecter les règles imposées par Google. Chaque ligne, chaque colonne doit pouvoir donner les informations précises sur le produit. Forme, couleur, titre, tout doit être renseigné parfaitement. Pour vous aider, il existe des Feed Agregator qui permettent de convertir un simple catalogue de produits en catalogue adapté à Google Shopping. Mieux, Google a lancé lui-même des Feed Rules qui devraient vous aider à répondre à ses attentes.

Pourquoi Google Shopping est-il devenu incontournable ?

On a envie de dire : « parce que c’est Google ». Tout ce que Google dit et fait est parole d’évangile. Et pour cause, c’est chez lui que vont les internautes. Être présent sur Google est indispensable. Lancer une campagne AdWords Brest est très utile. Mais apparaître dans Google Shopping et, qui plus est, dans le carrousel qui vous saute aux yeux dès que vous lancez votre recherche, c’est quasi indispensable. Ce carrousel, c’est 90% des volumes de Google Shopping. Vous avez envie d’être présent vous aussi ? Contactez-nous !

5 critères pour choisir son agence de referencement

Le referencement, aussi bien naturel que payant, est un enjeu aux portées économiques vitales pour l’entreprise. De plus, ce domaine, qui fait appel à de nombreux leviers de tous ordres, est en évolution permanente. Les entreprises ont donc tout intérêt à faire appel à une agence de référencement. Mais comment être sûr de son choix ? L’agence webmarketing Wedig, forte de sa grande expérience d’expert referencement naturel, recommande cinq critères fondamentaux à prendre en compte.

La qualité d’écoute pour l’agence

Parce qu’elles attendent beaucoup du référencement sans avoir beaucoup de connaissances dans ce domaine, les entreprises ont un grand besoin d’être rassurées. L’équipe rennaise d’experts Wedig  est d’abord à l’écoute des besoins des entreprises. Capables de s’adapter à tous les degrés de connaissances des entreprises, les spécialistes Wedig  veillent à leur fournir des explications parfaitement compréhensibles.

La disponibilité

Le monde connecté accélère le temps et les patrons d’entreprises ont besoin que l’on réponde à leurs questions sans attendre. Chez Wedig, la disponibilité mais aussi la réactivité sont des valeurs majeures. Une personne dédiée accompagne en permanence les besoins des clients via une relation humaine privilégiée plutôt qu’une solution informatique sans âme.

La compétence

Le référencement fait appel à des compétences et des savoirs précis, malheureusement pas toujours d’un niveau nécessaire chez certains prestataires. Les experts seo et sea Wedig, certifiés individuellement Google, sont des spécialistes éminents dans leur partie. Plutôt que de prétendre connaître tous les domaines, ce que la technicité et la rapidité des évolutions rend impossible, ils maîtrisent leur sujet à fond et anticipent les mises à jour en permanence.

La transparence

Dans des domaines aussi complexes et qui paraissent mystérieux aux yeux des néophytes, Wedig met un point d’honneur à présenter ses prestations et leurs résultats en toute transparence. Clairement expliquées, les actions Wedig s’appuient sur des exemples concrets. Et les résultats obtenus sont toujours prouvés et détaillés par des rapports réguliers.

Le travail global de trafic

Bien sûr, le positionnement de leur site dans les premiers résultats du moteur de recherche est une satisfaction pour les entreprises. Mais l’expert seo Wedig ne s’en satisfait pas. Les résultats vraiment intéressants à obtenir visent le déploiement du trafic qualifié, seul à même de se traduire en conversions et chiffre d’affaires.

Wedig, le partenaire expert referencement

Depuis ses bureaux de Rennes, mais aussi Nantes et Caen pour accompagner les entreprises dans tout le grand ouest, l’agence de conseil Wedig  est son équipe sont les spécialistes du référencement dont les entreprises on besoin pour réaliser leurs objectifs web marketing.

Wedig : agence webmarketing et digitale à Nantes

L’agence conseil Nantes Wedig donne aux entreprises tous les gages de compétences et de savoir-faire pour leurs besoins en stratégie digitale. Ainsi, l’agence webmarketing nantaise est aussi, et avant toute chose, une agence referencement. Son équipe est composée d’experts certifiés au service de leurs clients allant de petites aux grandes structures et ce quelques soient les types de secteurs d’activité.

Un referencement  google certifié

Les référenceurs SEA nantais de Wedig sont individuellement certifiés adwords par Google. Cette reconnaissance valide leur compétence technique ainsi que leur capacité à optimiser le trafic et le coût d’acquisition sur les sites de leurs clients. Cette validation très rigoureuse octroyée par le principal moteur de recherche donne aux entreprises l’assurance de confier leurs stratégies webmarketing entre de bonnes mains expertes.

Des experts très à l’écoute

Spécialistes pointus dans leurs domaines, les membres de l’agence web seo Wedig n’en sont pas moins à l’écoute active des besoins des entreprises. Les hommes et les femme de Wedig savent en effet s’adapter parfaitement aux besoins et aux stratégies d’investissement des décideurs d’entreprises. Soucieux de présenter des prestations transparentes et pédagogiques quelles que soient les connaissances de leurs clients, les experts sont des partenaires précieux pour atteindre les objectifs stratégiques en marketing digital.

Choisir une agence de referencement à Nantes, la solution Wedig

Installée dans la capitale économique de l’ouest, l’agence Wedig a trouvé à Nantes un port d’attache parfait pour proposer son savoir-faire aux entreprises. Choisir l’équipe d’experts de l’agence de marketing digital nantaise permet aux entreprises de trouver sur les bords de Loire les compétences et les moyens pour réaliser leurs objectifs stratégiques sur Internet.

Référencement naturel : Top 5 des erreurs à éviter pour sa boutique en ligne

Une boutique en ligne demande la même concentration qu’un site vitrine. Souvent mis de côté, le référencement naturel, appelé aussi SEO, arrive au dernier moment dans le cursus de développement et pourtant il est au cœur même d’une visibilité dans les moteurs de recherche. Voici le Top 5 des erreurs à éviter dès lors que l’on cherche à développer une audience naturelle sur un site e-commerce.

La navigation et l’arborescence au cœur même de l’expérience utilisateur

L’utilisateur est au cœur même du site internet. Il est le point central du projet et son parcours sur le site sera le seul élément déterminant à suivre pour l’élaboration du projet. La navigation du site mais aussi l’arborescence sont au cœur même d’un site cohérent et qui facilite la conversion sur un site.

Les pages du site ne contiennent pas de contenu unique

Le contenu du site est la force principale d’un site. Souvent mis de côté, il n’est pas rare de retrouver du contenu identique sur chaque page, avec le service marketing qui nous donne l’argument qu’il n’y a pas d’alternative possible sur ces quelques pages produits où seul un détail diffère entre une surface de chambre, une couleur de chaussure ou des frais de livraison qui se différencient uniquement. Pourtant le contenu d’une page c’est la force principale d’un site, de nombreuses solutions se présentent pour éviter ce problème qui peut avoir de lourdes conséquences sur les performances en référencement naturel.

Meta title et meta description identiques

Le site est entièrement optimisé pour le référencement naturel à ce jour avec du contenu unique et de qualité. Malgré ça, l’indexation est trop faible et le positionnement n’évolue pas. En ayant oublié d’optimiser le title de chaque page ainsi que la description, les moteurs de recherche n’iront pas instinctivement regarder chaque page pour se rendre compte que le site propose su contenu unique et original sur chaque page puisque les titres et descriptions seront dupliqué. « Search Console » est un outil gratuit qui identifie cette problématique.

Les pages du site sont trop pauvres en contenu

Une page doit avoir un champ lexical développé pour avoir de la pertinence d’indexation dans les moteurs de recherche. Proposer des pages d’un site trop pauvres en contenu n’aura pas d’argument pour qu’un moteur de recherche indexe la page dans ses résultats. En adéquation avec le principe de ne pas proposer de contenu dupliqué, cette erreur trop fréquente de contenu trop pauvre réduit l’indexation du site dans les moteurs de recherche. Il faut garder à l’esprit qu’une page proposant du contenu de faible qualité et quantité n’intéressera pas l’internaute, encore moins les moteurs de recherche.

La version mobile n’est pas responsive

Offrir à l’internaute un site qui ne soit pas responsive aujourd’hui, en 2015, est un risque à prendre en compte. En effet, les moteurs de recherche démultiplient les indexations en prenant en compte les critères techniques du site suivant les supports utilisés. Le site qui ne s’adaptera pas à la résolution de l’écran sur les supports mobiles n’aura plus la même pertinence de présence dans les moteurs qu’un site responsive et validé par Google, entre autres.

Objets connectés : le film « Retour vers le futur » était-il à l’image de notre quotidien en 2015 ?

En ce 21 octobre 2015, date à laquelle Marty McFly et Emmett Brown, alias Doc, arrivent dans le futur, Wedig, agence de Webmarketing, vous propose un retour vers le futur. A l’heure du développement fulgurant des objets connectés, voyons si les anticipations du réalisateur se sont effectivement réalisées.

Les objets imaginés qui existent vraiment en 2015

Il semble que Robert Zemeckis avait vu juste pour de nombreux objets futuristes. L’usage de certains d’entre eux est largement répandu et fait partie de notre quotidien. Voici les objets passés de l’imagination à la réalité :

  • L’hologramme, qui est utilisé dans le film pour promouvoir une suite des « Dents de la mer », permet notamment, de nos jours de faire revivre, le temps d’un concert, des célébrités telles que Tupac Shakur ou Michael Jackson.
  • Les appels vidéos, imaginés par Robert Zemeckis, sont aujourd’hui largement répandus grâce à des applications comme Skype ou Face Time par exemple.
  • Les écrans plats, omniprésents dans la maison et les tablettes tactiles, utilisées pour faire signer des pétitions aux passants, sont encore des technologies parfaitement intégrées à notre quotidien. D’après Mediametrie, 36,2% des foyers possèdent une tablette et prés de 80% sont équipés d’un écran plat. De nos jours, l’ergonomie site internet est prioritaire dans l’univers responsive.
  • Les lunettes qui permettent de regarder un film, comme celles utilisées par le fils de Marty McFly, sont bien commercialisées en 2015. Sony propose ainsi un Visiocasque, grâce auquel il est possible de voir un film sur un grand écran virtuel, mais aussi de jouer à des jeux vidéo.
  • La maison connectée était également un très bon pari de Robert Zemeckis, puisque aujourd’hui ce domaine est en plein essor. On peut ainsi citer le réfrigérateur connecté de Samsung qui nous prévient quand les aliments arrivent à date de péremption, ou Mother de Sen.se qui nous rappelle de prendre nos médicaments ou de savoir qui se trouve à la maison.
  • La sécurité biométrique est une autre technologie présente dans le film et dont l’application se répand progressivement. On voit ainsi les personnages ouvrir une maison ou effectuer un paiement simplement avec leur doigt. Ce système d’identification est aujourd’hui utilisé pour déverrouiller un smartphone ou payer pour une application mobile.
  • Le contrôle vocal permet de contrôler de nombreux objets dans « Retour vers le futur », comme la télévision. Ceci est possible en 2015 avec le capteur Kinect de la Xbox One ! Nous pouvons aussi contrôler notre smartphones avec notre voix grâce à Siri sur iPhone et KLets sur Android.
  • Le jeu vidéo sans manettes, essayé par Marty McFly, est également une innovation en adéquation avec la réalité. En effet, des consoles de jeu comme la Wii ou Kinect ont été conçues sur le principe de la détection des mouvements des joueurs.

Les objets qui restent de l’ordre de l’imaginaire

Skateboard retour vers le futur

Bien que Monsieur Zemeckis ait réussi à prévoir l’existence d’un bon nombre de nouveaux objets, certaines de ses inventions n’ont toujours pas été créées en 2015. Ces objets qui restent à réaliser sont :

  • Le fameux hoverboard, qui a tant fait rêver les plus jeunes d’entre nous, n’existe toujours pas en 2015. Cependant, on peut encore espérer faire un tour sur ce skateboard futuriste, car Lexus a créé un prototype d’hoverboard fonctionnant grâce à un champ magnétique.
  • Les lunettes-téléphones n’ont pas encore été conçues non plus. Bien que des lunettes pouvant se connecter à un smartphone, comme les Google Glass, aient été créées, nous ne disposons pas encore de lunettes avec un téléphone intégré.
  • Les baskets Nike qui se lacent toutes seules ne sont pas encore dans les rayons. Nike a bien sorti un modèle collector au design ressemblant à celui porté par le héros du film, mais le laçage reste manuel. Un projet « Powerlace » a été lancé afin de développer des baskets qui utilisent le poids du corps pour se lacer et s’adapter au pied.
  • La veste auto-séchante reste encore à créer, actuellement aucun projet de recherche n’est dédié à la création d’un tel produit.
  • Les poubelles mobiles, qui se déplacent automatiquement vers les personnes qui souhaitent jeter un déchet, n’existent pas aujourd’hui. Rien ne prête à croire que de telles poubelles prendront la place de nos poubelles actuelles dans un futur proche.
  • La voiture volante n’a toujours pas été inventée. N’oublions cependant pas, l’imminente arrivée de la voiture sans chauffeur (prévue pour 2020), qui est une innovation tout aussi spectaculaire.
  • L’iconique machine à remonter dans le temps n’existe, malheureusement, pas à ce jour. La conception d’une telle machine est confrontée à plusieurs problèmes physiques.

Vers une généralisation des objets connectés

Objets connectés dans retour vers le futur

Bien que les innovations en matière d’objets connectés ne manquent pas, leur commercialisation à grande échelle peine à se développer.

Pour remédier à ce problème les startups de la French Tech et les leaders français de la distribution signent aujourd’hui une charte. L’objet de cette charte est d’engager les distributeurs à faciliter la commercialisation des nouveaux produits des startups au sein des différents points de vente physiques et en ligne. La première initiative qui va dans ce sens est la « Semaine des objets connectés de la French Tech », qui a débuté lundi 19 octobre dernier dans la plupart des boutiques des grandes marques de distribution et dans les magasins spécialisés. Ainsi, toute la semaine les clients pourront rencontrer les créateurs des objets et assister à des animations. Cet évènement devrait faire connaître les objets connectés auprès du plus grand nombre.

En parallèle de ces actions, une plateforme développée par la société Innov8, en partenariat avec la FrenchTech, va permettre aux startups de vendre leurs objets connectés sur de multiples sites de vente en ligne. En effet, la plateforme est destinée à faciliter le processus de vente aux sites distributeurs, en prenant en charge l’ensemble des étapes logistiques.

Galerie photo des objets connectés dans la trilogie Retour vers le Futur

Google Shopping : L’examen de Certification AdWords pour Google Shopping est arrivé en France.

Depuis le mois de mars 2015, les consultants en webmarketing ou bien encore les chargés de comptes publicitaires peuvent évaluer leurs connaissances sur la manière de configurer et de diffuser une campagne Google Shopping. Cette nouvelle certification Google vient compléter celles déjà existantes telles qu’AdWords, Analytics ou encore YouTube ; et permet d’assurer aux annonceurs que la personne qui va gérer leurs campagnes est compétente dans son domaine.

L’agence Wedig, agence webmarketing basée à Rennes, fait le point sur les différentes certifications AdWords et vous en dit plus sur le contenu de ce nouvel examen !

 Les différentes certifications AdWords

 Les examens de certification AdWords ont été mis en place afin de tester les connaissances sur les bonnes pratiques recommandées par Google en matière de publicité. Ces examens qui abordent les principes de base et avancés de la publicité en ligne mais aussi la gestion des campagnes permettent l’obtention d’une certification.

Aujourd’hui, il existe plusieurs types de certifications :

  • L’examen sur les bases d’AdWords,
  • La publicité sur le Réseau de Recherche,
  • La publicité sur le Réseau Display,
  • La publicité vidéo (YouTube)
  • Et grande nouveauté, la publicité avec Google Shopping !

Certification Google Shopping : s’y préparer

 Les annonces Google Shopping étant de plus en plus présentes dans les résultats de recherche, parfois même au détriment des annonces Search traditionnelles, Google a décidé d’apporter de nombreuses modifications. Pour passer cette certification, il est bien évidement recommandé d’avoir déjà mené au moins une campagne Google Shopping, afin d’augmenter ses chances de réussir l’examen. En effet, l’examen permet de tester ses connaissances sur Merchant Center et AdWords afin d’assurer notre capacité à mettre en place une campagne Shopping.

Plus précisément, les aspects ci-après doivent être maîtrisés :

  • Le fonctionnement des annonces pour une offre de produits,
  • La création et la gestion du compte Google Merchant Center,
  • L’envoi et l’optimisation d’un flux de données de produits,
  • La création et la gestion de campagnes Shopping dans AdWords (définition, optimisation des enchères…)

Certification Google Shopping : le jour J

L’examen Google Shopping est composé de 63 questions sous la forme d’un QCM qui doit être complété en 90 minutes… seulement ! Afin d’obtenir la certification, il faut atteindre un score supérieur ou égal à 80%. Disponible en français, l’épreuve l’est également en plusieurs langues : anglais, chinois, allemand, italien ou encore en russe et en espagnol.

Bon à savoir :

  • En cas d’échec à l’examen, vous pouvez de nouveau le passer après 7 jours.
  • Cette certification est valable 12 mois à partir de la date d’obtention.

Si vous souhaitez créer ou faire gérer vos campagnes Google Shopping, n’hésitez pas à contacter un expert comme Wedig, agence de référencement spécialisée en Search Marketing ! Nous vous conseillons et nous vous accompagnons dans votre stratégie de référencement publicitaire.

 

 

 

 

 

 

Booster vos ventes avec les marketplace

Fnac, Cdiscount, Amazon, Ebay, Pixmania, Rueducommerce, Nature&découverte … Quel est le point commun entre ces différents sites ? Oui, ils font du e-commerce, mais ils sont tous devenus des marketplace. Littéralement des places de marché qui hébergent des vendeurs indépendants ou tiers qui « profitent » de la notoriété, de l’audience, de l’infrastructure technique e-commerce et de la force de frappe de ces incontournables du e-commerce. Et cela marche bien, selon la FEVAD et son indice IPM, le volume des ventes réalisées sur les places de marché en France a progressé de 53% en un an.

 Oui, il faut vendre sur les marketplace 

Vous êtes e-commerçant, vous faites de la publicité web, du référencement, votre site e-commerce est bien en place, vous cherchez un moyen complémentaire pour booster vos ventes, alors soyez présent sur les marketplace. Pourquoi ?

  •  Vous élargissez votre audience et vos cibles grâce à des « locomotives » e-commerce.
  •  C’est un moyen efficace de mettre en lumière certains de vos produits que vous peinez à vendre sur votre propre site.
  •  Vous diversifiez vos canaux de trafic et de vente : ne pas mettre tous ses œufs …
  •  Vous bénéficiez de l’expertise, du savoir-faire marketing, de la structure technique, d’un système de transactions, bref de tout un « environnement » au service du business en ligne.

Mais attention, pas d’improvisation …

… pour contracter ou se positionner sur une place de marché. Cela nécessite stratégie, réflexion et plan d’actions structuré !

Les 4 conseils de Wedig, agence de référencement et webmarketing :

1 – Bien choisir sa marketplace : généraliste ou spécialisé … Mettez vous à la place de vos clients ! Etudiez, échangez et choisissez. Comparez les conditions de rémunérations et les taux de commission de chaque place de marché : 15% chez Amazon, 12% à la FNAC et chez Pixmania, 9% sur Ebay…

2 – Sélectionner des produits parmi l’ensemble de vos produits. Commencez et testez avec les produits que vous vendez le moins bien sur votre site.

3 – Bien structurer le flux des produits que vous enverrez à la marketplace.

4 – Eviter de dupliquer le contenu de votre catalogue et celui du flux marketplace, Google n’aime pas cela. Cela pénaliserait fortement tous vos efforts entrepris pour optimiser le référencement naturel de votre site e-commerce. Pensez à vérifier et faire une analyse de votre référencement !

Quand l’achat de nom de marque devient possible sur Google AdWords

Wedig, agence de référencement revient sur un sujet qui a toujours posé problème pour les consultants en webmarketing, notamment chargés de gérer des campagnes publicitaires Google AdWords. Le 5 mars 2015, la justice a rendu une décision fondamentale concernant les problématiques liées à l’achat de marques concurrentes sur AdWords.

Le cas Interflora / Florajet

A l’origine du conflit, Interflora reprochant à son concurrent Florajet, un fleuriste en ligne, d’utiliser son nom de marque sous forme de mots clés au sein même de ses campagnes AdWords.

En plus de nuire à son image, Interflora a estimé que Florajet tirait profit de sa notoriété et portait atteinte à ses efforts tournés vers l’acquisition de clients.

A l’issue de nombreux débats, le Tribunal de Grande Instance de Paris a estimé que la renommée d’Interflora ne pouvait se prouvait et qu’elle était insuffisante pour préserver la marque de la concurrence. Le TGI a également précisé qu’il n’y avait aucun risque de confusion car la marque n’est uniquement énoncée sous forme de mot clé et non d’annonce publicitaire.

Ainsi, la décision est tombée : On peut acheter la marque de son concurrent sur AdWords, et c’est une petite révolution !

Désormais, que risque-t-il de se passer ?

Il faut savoir qu’avant la décision du 5 mars 2015, les annonceurs se contactaient entre eux afin de demander l’exclusion de leur nom de marque au sein de campagnes AdWords concurrentes. Lorsqu’il n’y avait aucun retour à leurs demandes, certains abandonnaient mais d’autres faisaient appel à un huissier afin de demander une mise en demeure. Dans 99% des cas, la marque était retirée.

Aujourd’hui tous les annonceurs (frileux jusqu’alors), vont tour à tour se lancer dans l’achat de noms de marques concurrentes pointant du doigt cette fameuse jurisprudence !

Au niveau des campagnes, nous risquons de constater une augmentation naturelle des enchères à des niveaux relativement élevés. L’annonceur lésé va astucieusement à son tour se positionner sur la marque du concurrent, et un cercle vicieux va prendre forme petit à petit.

Les bonnes pratiques pour éviter tout conflit d’intérêt

Pour éviter tout conflit autour de l’achat de mots clés « nom de marque », Wedig vous quelques bonnes pratiques :

  • L’annonce publicitaire ne doit pas porter à confusion dans l’esprit de l’internaute (Concernant l’origine du produit par exemple…)
  • Il ne faut pas tirer profit de la notoriété de la marque concurrente, par d’autres biais que la comparaison.
  • Il est fortement recommandé de ne pas déformer la marque en terme générique.

Pour éviter les impairs, remettez-vous en à un chargé de compte AdWords aguerri et certifié ! Faites appel à un expert comme Wedig, agence digitale spécialisée en Search Marketing.